Pour les Amérindiens, cet « arbre de vie » guérit tous les maux et accompagne chaque tâche du quotidien…
Le lapacho biologique : l’Arbre à Ecorce Divine
Pour les Amérindiens, cet « arbre de vie » guérit tous les maux et accompagne chaque tâche du quotidien. Les Guaranis le nomment « Tayig » ou « Tajy » et le vénèrent. Au Brésil, on l’a baptisé « Pau d’arco », ce qui signifie « bois d’arc » car les Indiens y taillaient leurs flèches. Les Indiens Aché disent de lui : « Le feuillage du lapacho biologique parle agréablement ». Mais c’est chez nous, désormais, que le lapacho biologique déchaîne bien des passions.
Le lapacho biologique, de la famille des Bignoniacées, est un arbre originaire d’Amérique du Sud. Il est notamment répandu au Brésil, en Argentine et au Paraguay (dont il est l’arbre national). Des profondeurs humides de la forêt de pluie, jusqu’à l’altiplano qui culmine à 4500 mètres, on rencontre près de 100 espèces de cet arbre majestueux. Dès le printemps, le lapacho biologique se couvre de fleurs allant du rose au pourpre avant de déployer le vert laqué de ses feuilles elliptiques.

Le Professeur Walter Accorsi (Brésil) et le Docteur Theodoro Meyer (Argentine) – qui ont mené sur lui d’importants travaux -, s’accordent à dire que les espèces à fleurs pourpres possèdent des vertus thérapeutiques supérieures aux espèces à fleurs claires. Selon les latitudes et les idiomes, le lapacho biologique apparaît sous les appellations suivantes : Acapro, Ironwood, Madera Negra, Arnapa, Tahuari…
Mais ses noms les plus populaires restent : Pau d’Arco, Taheebo et Ipe Roxo. Pour s’y retrouver, avant d’acheter vos gélules, votre thé ou vos fragments d’écorce, vérifiez toujours son nom binominal en latin. Seuls Tabebuia impetiginosa, Tabebuia avellanedae, Tecoma Curialis ou Tecoma Adenophylla sont exploités pour leurs vertus médicinales.
Histoire
Le lapacho biologique a toujours occupé une place d’honneur dans la pharmacopée amérindienne. Les Indiens Kallawayas, guérisseurs traditionnels de l’Empire Inca, utilisaient son écorce en décoction pour soigner les morsures de serpent, les fièvres et pour préparer des boissons stimulantes.
Les Indiens d’Amérique du Sud le consommaient massivement en décoction pour soigner la malaria, les ulcères, l’anémie, la colite, les problèmes respiratoires, la toux, la grippe, l’arthrite ou les rhumatismes… C’est uniquement son aubier (ou intérieur d’écorce) qui est utilisé.

Science
Des analyses scientifiques ont prouvé que le lapacho biologique contenait (entre autres) du fer assimilable, des tanins, des flavonoïdes et des coumarines (substances accentuant la fluidité sanguine), des antiseptiques et des antibiotiques ainsi que des antiviraux, des oligo-éléments et des minéraux (magnésium, calcium, zinc, phosphore, chrome, manganèse, silice, cuivre, molybdène, sodium, potassium, argent, bore, strontium, or, baryum, nickel).
Sa très haute teneur en fer en fait un excellent anti-anémique et facilite la formation des globules rouges. Stimulant le système immunitaire, le lapacho biologique est donc un authentique adaptogène. Un adaptogène est une plante augmentant la capacité de notre corps à s’adapter aux différents stress. Parmi les adaptogènes connus, on citera le ginseng, l’échinacée ou la coca.
Les Chinois désignent depuis des siècles ces plantes sous la dénomination de « toniques supérieurs ». Les actions antibactériennes, antivirales, anti-inflammatoires, antifongiques, anti-oxydantes et laxatives du lapacho biologique sont prouvées par les Amérindiens depuis bien des lunes.
Cancer et lapacho biologique
Des études scientifiques ont été menées sur le lapacho biologique dès le 19ème siècle. En 1882, E. Paterno isolait en lui une substance active appelée « lapachol ». Dès les années 60, le National Cancer Institut aux U.S.A. s’est penché sur ce lapacho biologique et les études indiquèrent que cette substance qui ralenti la croissance des cellules cancéreuses en bloquant leur assimilation de l’oxygène.
C’est ainsi que le lapacho biologique devint une plante vedette. Des revues prestigieuses comme « Cancer Chemotherapy Reports » ou « British Journal of Phytotherapy » lui consacrèrent d’importants dossiers… Mais cette notoriété alimenta rapidement une guerre entre convaincus et sceptiques – guerre qui perdure encore aujourd’hui. D’aucuns voient en lui un « arbre miraculeux ».
D’autres soutiennent qu’aucune étude n’a jamais démontré son effet significatif sur le cancer humain. Le débat vient d’être relancé en juin 2007 depuis qu’un scientifique, le Docteur David Boothman (professeur au Harold C. Simmons Comprehensive Cancer Center) affirme qu’une substance extraite du lapacho biologique – le beta-lapachone – détruirait efficacement certaines cellules cancéreuses et ouvrirait les portes d’un nouveau traitement chimiothérapique.
Utilisation
L’écorce de lapacho biologique s’utilise sous forme de décoction. On verse 1 à 2 cuillerées à soupe dans 1 litre d’eau qu’on laisse bouillir sur le feu pendant 5 minutes. Puis on laisse reposer environ 15 minutes. On trouve le lapacho biologique dans le commerce sous forme de gélules ou de thé déjà conditionnés.
Mais attention : le lapacho biologique est contre-indiqué en cas d’hémophilie car il contient des coumarines au fort pouvoir anticoagulant. Il est donc préférable que les personnes présentant une coagulation perturbée à type d’hypocoagulabilité (sang trop fluide) l’évitent.

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